Edith Canat de Chizy n’écrit jamais pour l’œil

« …Edith Canat de Chizy n’écrit jamais pour l’œil : l’oreille prime tout, mais la parfaite fluidité de ses polyphonies, malgré leur densité impénétrable, témoigne d’une acuité de la perception et d’un contrôle des moyens assez rare… »

Gérard Condé
Le Monde