« Suono, le son à l’origine de toute musique : comment le faire naître, comment le mouvoir, le conduire, le combiner avec d’autres sons ? En bref, comment l’écrire pour mieux le découvrir ? Ce sont autant de questions auxquelles chacune des sept pièces de cet enregistrement répond à sa manière, pour embarquer l’auditeur vers cet ailleurs qui taraude l’imaginaire d’Édith Canat de Chizy et la guide dans une vision exploratoire de l’univers sonore. |
Edith Canat de Chizy sur
Edith Canat de Chizy Syncrétisme
L’univers mystérieux et insaisi de Canat de Chizy
Edith Canat de Chizy a été, en 2005, la première femme compositeur à entrer à l’Institut de France et demeure la benjamine de l’Académie des beaux-arts.
Edith Canat de Chizy entrevoit l’orchestre comme un horizon illimité
« Le front de l’Aube » oratorio création Festival de Laon le 13 Octobre 2017 Diapason: art. Pierre Rigaudière Lire Art. Resmusica Lire Musikzen Lire Omer Corlaix Lire et écouter
Over the sea (2012), qui donne son titre au nouvel album monographique d’Edith Canat de Chizy produit par le label Solstice, est la première œuvre, commande de l’Ircam, pour laquelle la compositrice fait appel, via l’assistance de Grégory Beller, à l’outil électronique. C’est ici la peinture de Claude Monet et l’univers miroitant et subtil du peintre, qui… Poursuivre la lecture Matière, mouvement, éclair
» La compositrice s’empare des visions de l’univers d’Hildegarde von Bingen qui avait, au XIIème siècle déjà, la conviction que la terre était ronde: « Je vis une immense sphère/Ayant à sa partie extérieure un cercle de lumière étincelante ». L’écriture des voix et des instruments s’inscrit dans un mouvement circulaire souvent spectaculaire dont l’électronique accuse l’effet… Poursuivre la lecture Visio
Dès les premiers sons, la pièce d’Edith Canat de Chizy captive. Nous quittons brusquement l’Allemagne romantique et religieuse pour une fantastique forêt de sons et de bruissements. Les chanteurs murmurent, parlent, psalmodient à toute vitesse, se frappent la poitrine autant qu’ils chantent. L’écriture est ciselée à l’extrême. Ce Nunc Dominus est court et très dense. Le soin… Poursuivre la lecture Nunc Dimittis à Abbeville
La fureur d’aimer Etienne Comes 23 Septembre 2013.
Article Resmusica.com Maxime Kaprielan 3 Septembre 2013.
EN 2005, Edith Canat de Chizy entrait à l’Institut de France par la grande porte. Première femme élue à la section musicale de l’Académie des beaux-arts, elle trouvait ainsi une manière de consécration… balayée d’un revers de main de sa part pour tout ce qui pourrait relever de l’anecdote. Compositeur (ne surtout pas dire « compositrice ») à… Poursuivre la lecture Syncrétisme
Resmusica Michèle Tosi;5 Novembre 2011
… Le discours anguleux, ponctué par des ruptures et des impacts que cette rétrospective incite à considérer comme des constantes, passe dans la Ligne d’ombre par le filtre d’une plus grande économie de moyens. De cette sobriété naît une force expressive plus impressionnante encore, alimentée par un cortèges de figures qui, évoluant sur un fond faussement statique,… Poursuivre la lecture CD Times » L’oeuvre pour orchestre »
Edith Canat de Chizy entrevoit l’orchestre comme un horizon illimité LE MONDE pour Le Monde.fr | 06.04.2011 à 16h01 Maurice Ohana, son mentor, en avait eu le pressentiment. Edith Canat de Chizy devait siéger à l’Institut de France. Elle fut donc, en 2005, la première femme compositeur à entrer à l’Académie des beaux-arts, où seule Jeanne Moreau… Poursuivre la lecture L’orchestre comme horizon illimité
Disciple de Maurice Ohana, Edith Canat de Chizy libre ici une œuvre de rigueur et de tempérament. Gérard DAHAN Libération
Ce superbe concerto ne comporte aucun effet gratuit et triomphe grâce au jeu caressant de l’altiste portugaise Ana-Bela Chavès. Pierre Gervasoni Le Monde
Son concerto séduit par son raffinement très français, son élégance harmonique et le caractère évocateur de climats quasi picturaux. Christian MERLIN Le Figaro
« A 50 ans, Edith Canat de Chizy suit un chemin peu frayé, et même un chemin dont elle dessine le parcours à son seul usage. Sa maîtrise de l’écriture pour cordes crève les yeux, surtout pour le quatuor, mais cela n’est rien. C’est la liberté d’aller où elle veut qui est admirable, d’admettre ses propres… Poursuivre la lecture A 50 ans, Edith Canat de Chizy suit un chemin peu frayé
L’écriture organistique est un exercice périlleux dans lequel excellent en premier lieu les praticiens de cet instrument quelque peu compliqué… C’est pourquoi il est rare que des compositeurs non organistes y trouvent leurs marques (ce fut le cas du contrapuntiste Hindemith) ou qu’ils sachent dépasser celles de l’instrument au profit de leur langage (ainsi en… Poursuivre la lecture A propos de Véga
« …On reste émerveillé par l’art envoûtant d’Edith Canat de Chizy. Elève de Maurice Ohana et d’Ivo Malec, elle est le parfait exemple de l’indépendance acquise par les créateurs de sa génération – celle de l’après-guerre – vis-à-vis des écoles et des dogmes… » Pablo Galonce Le Monde de la Musique
« …Cette ancienne élève d’Ivo Malec et de Maurice Ohana invalide depuis quelque temps toute tentative typologique de sa musique. Sur le plan d’une supposée caractéristique féminine, bien sûr, comme sur ceux du langage, sans évolution linéaire et encore moins modernisante, et du style, reconnaissable dans la qualité des mutations plus que dans la permanence… Poursuivre la lecture Cette ancienne élève d’Ivo Malec et de Maurice Ohana
« …La musique d’Edith Canat de Chizy grise par sa présence physique et spirituelle à la fois. Yell (1985) joue des distorsions orchestrales, multiplie les profondeurs de champ, spatialise les affinités électives entre pupitres. Canciones (1992), pour douze voix, porté par l’extase, se déploie comme une irradiation de l’âme. Exultet (1995), son concerto pour violon, conquiert… Poursuivre la lecture La musique d’Edith Canat de Chizy grise
« …On goûte cette musique comme une rêverie à travers laquelle l’intégrité céleste semble gagner, comme par contagion, toute notre épaisseur vivante et matérielle… » Karol Beffa Classica
« …Il faut admirer la fluidité, l’équilibre du rapport entre le soliste et l’orchestre, la fermeté architecturale et aussi (surtout ?) le raffinement dans le jeu des timbres et des nuances… » Jacques Bonnaure Répertoire
« …Violoniste de formation, Edith Canat de Chizy a une prédilection particulière pour les cordes, dont elle utilise toutes les ressources. Elle a un don précieux, celui de la mélodie… Le concerto pour violon est admirable : il y en a peu dans le répertoire contemporain qui soient dotés d’un tel pouvoir d’envoûtement… » Jean Roy Le Monde… Poursuivre la lecture Violoniste de formation
« …Ancienne élève de Maurice Ohana, cet admirateur de Debussy qui a toujours refusé les clans et les chapelles, l’atypique musicienne dépeint avec bonheur un monde de couleurs varié et raffiné… Edith Canat de Chizy travaille son matériau sonore tel le sculpteur appliqué ciselant son bloc de pierre : avec de la méthode et un goût du… Poursuivre la lecture Ancienne élève de Maurice Ohana
« …Violoniste de formation, Edith Canat de Chizy n’a jamais quitté le monde qui se rattachait à son instrument. Telle en témoigne la production de ses œuvres qui privilégie d’une manière générale la famille des cordes : Sextuor (1982), Trio Hallel (1991), Siloël pour 12 cordes (1992), Exultet, Concerto pour violon et orchestre (1995). Des pièces… Poursuivre la lecture Violoniste de formation, Edith Canat de Chizy
« …Edith Canat de Chizy n’écrit jamais pour l’œil : l’oreille prime tout, mais la parfaite fluidité de ses polyphonies, malgré leur densité impénétrable, témoigne d’une acuité de la perception et d’un contrôle des moyens assez rare… » Gérard Condé Le Monde