« A 50 ans, Edith Canat de Chizy suit un chemin peu frayé, et même un chemin dont elle dessine le parcours à son seul usage. Sa maîtrise de l’écriture pour cordes crève les yeux, surtout pour le quatuor, mais cela n’est rien. C’est la liberté d’aller où elle veut qui est admirable, d’admettre ses propres détours. Non point son caprice, mais l’enchaînement des images. Tout change constamment, passe du léger au profond, du cauchemar à la lumière (quatuor n°1). Une musique libre, et même libre d’être conceptuelle. »
Jacques Drillon
Le Nouvel Observateur